Ascher Racing F28-SC V2 : Test & Avis | Ce qu’il vaut vraiment en 2025

Ascher Racing F28-SC V2 : Mon avis en bref

Ta kierownica dała mi poczucie prawdziwego narzędzia pracy: bardzo czytelna w FFB, bez dodatków, co pomaga zachować precyzję i stałość na torze. Przede wszystkim ma to sens dla kierowców symulatorów PC wyposażonych już w poważną bazę Direct Drive i sztywny kokpit. Inwestycja ma sens, jeśli szukasz czystej wydajności, a nie ergonomii "wszystko w jednym".

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Test & avis Ascher Racing F28-SC V2 : le volant Formula qui ne fait aucun compromis

Dans le segment des volants Formula haut de gamme pour Direct Drive, l’Ascher Racing F28-SC V2 occupe clairement le créneau “outil de précision” plutôt que “gadget bourré de RGB”. C’est un volant pensé pour la performance pure, sans écran ni artifices, destiné à ceux qui roulent principalement sur PC avec des bases Direct Drive sérieuses.

Sur le papier, il promet une ergonomie typée monoplace, une qualité de fabrication quasi indestructible et un feeling très direct des forces transmises par la base. En pratique, l’idée est simple : aucune distraction, seulement l’essentiel pour aller vite et rester constant.

Mon approche pour ce test : me concentrer sur trois axes. La qualité perçue en main, l’ergonomie en conditions réelles (longs relais, multitâche en course) et surtout le niveau d’information que le volant laisse passer, notamment sur des bases puissantes.

Design & fabrication : un bloc de métal taillé pour durer

En main, le F28-SC V2 donne immédiatement l’impression de tenir un “vrai” outil de pilotage, pas un jouet. Le corps est usiné en aluminium, avec une sensation de rigidité totale. Aucune flexion parasite, aucune vibration de structure, même sur des bases Direct Drive coupleuses. On sent que le châssis est pensé pour encaisser les gros couples sans broncher.

Les poignées sont recouvertes de grips en caoutchouc (ou équivalent) qui offrent un toucher ferme et précis. Ce n’est pas le grip le plus “moelleux” du marché, mais pour du roulage intensif, c’est très efficace : la main ne glisse pas, même quand la séance s’éternise. La densité globale du volant est rassurante, on sent de la matière, sans être exagérément lourd.

Les shifters magnétiques sont nets, francs, avec un clic sec qui rappelle ce qu’on trouve sur des volants de course modernes. Ils ne sont ni trop durs ni trop mous, le compromis est bien trouvé pour du GT comme pour du monoplace virtuel. Les boutons poussoirs, eux, respirent la qualité industrielle : rien qui flotte ou qui sonne creux.

Là où ça peut légèrement décevoir, c’est pour ceux qui aiment les designs chargés en couleurs, en écrans et en rotarys partout. Le F28-SC V2 reste sobre, très orienté fonctionnel : peu de boutons, mais bien placés. Pas de display intégré, pas de LED de RPM. C’est assumé, mais il faut le savoir.

Comparé à des volants plus “consumer” en plastique renforcé, l’Ascher joue clairement une division au-dessus en termes de rigidité et de sérieux perçu. Face à certains concurrents premium, il se distingue par son approche minimaliste et son absence totale de fioritures.

 

Ustawienia, personalizacja i kompatybilność

Le F28-SC V2 est un volant USB “pur PC” orienté écosystème Direct Drive. Il ne cherche pas à être universel au sens console, mais plutôt à s’intégrer à la perfection dans un setup sérieux, avec une base compatible et un PC orienté sim racing.

La compatibilité native se fait via USB, ce qui simplifie le branchement mais impose clairement un usage PC. Le volant est typiquement pensé pour s’accoupler à des bases Direct Drive type Simucube / bases USB avancées, avec un quick release adapté. Tant que la base accepte les volants USB, l’intégration reste simple et propre.

Côté réglages, tout se joue dans les logiciels de la base et dans les jeux eux-mêmes. Le F28-SC V2 ne propose pas de menus embarqués, pas d’écran, pas de presets intégrés. C’est un choix clair : on garde le volant comme interface physique et on laisse la couche logicielle à la base et aux sims. Pour l’utilisateur, cela veut dire qu’on passe un peu de temps au début dans les menus FFB, mais une fois que tout est aligné, on n’y touche presque plus.

La personnalisation réelle concerne surtout l’assignation des boutons, des encodeurs et des palettes. Là, on est sur quelque chose de très simple : chaque commande est reconnue comme entrée distincte, ce qui permet d’adapter le profil à chaque simulation (F1, GT3, prototypes, etc.). On peut se faire un profil “course” très dépouillé et un profil “endurance” plus chargé en fonctions, sans jamais se perdre.

La courbe d’apprentissage est finalement assez courte. On roule en quelques minutes, puis on affine progressivement la disposition des commandes et les réglages FFB pour coller parfaitement à son style de pilotage.

Sur l’écosystème, le F28-SC V2 s’insère naturellement dans un setup déjà musclé : pédalier load cell ou hydraulique, shifter séquentiel ou à grille, cockpit rigide. C’est un volant qui a plus de sens sur une base haut de gamme que sur une petite base à courroie.

En termes d’évolutivité, on est sur un achat “long terme”. Tant que ton setup reste orienté PC + Direct Drive, ce volant ne sera pas un point faible.

Sensations en jeu : lecture du grip et contrôle chirurgical

Là où le F28-SC V2 prend vraiment tout son sens, c’est une fois en piste, surtout avec une base Direct Drive déjà bien réglée. Sa rigidité structurelle et son absence de flex permettent de laisser passer le retour de force de manière extrêmement propre. Le volant ne filtre rien mécaniquement, et c’est une excellente nouvelle pour la lecture du grip.

On sent exactement ce que font les pneus.

Dans les virages moyens et rapides, le volant reste d’une stabilité remarquable. Les petites variations de charge, les débuts de glisse, la transition entre adhérence et survirage se lisent avec une grande clarté. Le centre est très net, sans zone morte “molle” qui brouille les sensations. On pose la voiture là où on veut, et on la garde là.

Sur les freinages appuyés, particulièrement en monoplace virtuelle, on profite pleinement de la précision. Les corrections micro-angulaires se font naturellement, sans se battre contre l’inertie du volant. Pour du trail braking, c’est un vrai plus : on module l’angle avec une finesse très confortable, même en situation de stress.

Sur les vibreurs, le volant transmet bien les textures sans devenir brouillon. Les impacts secs restent marqués, mais la structure ne résonne pas, ce qui évite la sensation de volant “qui sonne”. On ressent la forme du vibreur, la fréquence des aspérités, sans bruit parasite mécanique. La lecture de la piste reste toujours lisible.

Le volant reste propre et lisible, même quand on attaque.

Dans les corrections rapides, le format Formula du F28-SC V2 prend tout son sens. Le diamètre contenu et la bonne prise en main des poignées permettent de rattraper une glisse avec un mouvement court et précis. Quand l’arrière décroche, le temps de réaction est réduit par rapport à un grand volant GT. On peut oser un peu plus à l’entrée des virages, justement parce qu’on sait qu’on pourra rattraper.

Sur des sessions longues, la constance est au rendez-vous. La position des mains est naturelle, les commandes importantes restent facilement accessibles, et le grip ne fatigue pas excessivement les avant-bras. Ce n’est pas le volant le plus “reposant” qui existe, mais pour un Formula, le confort est bien géré. On peut enchainer les relais sans avoir la sensation de lutter contre le matériel.

Côté immersion, l’absence d’écran ou de LED n’enlève rien à la sensation de piloter une monoplace virtuelle. Au contraire, ça pousse à se concentrer davantage sur la piste et les infos à l’écran principal. L’immersion vient du lien direct avec la voiture, plus que de l’accessoire visuel.

Par rapport à une base moins puissante ou un volant plus basique, la différence se ressent surtout dans la finesse des informations. Le volant ne “sature” pas, même quand la base envoie des forces élevées. On garde en permanence cette sensation de marge de manœuvre, de contrôle.

C’est là que la base et ce volant changent vraiment l’expérience : on ne se contente plus de subir le FFB, on l’exploite.

Dla kogo to jest? Co lubimy, czego nie lubimy

Le F28-SC V2 s’adresse clairement aux sim racers intermédiaires à confirmés, plutôt orientés PC, qui roulent majoritairement sur des monoplaces, prototypes ou GT modernes. Un débutant très motivé peut évidemment en profiter, mais il tirera réellement parti du volant s’il possède déjà une base Direct Drive sérieuse et un cockpit rigide.

Ce qu’on apprécie le plus, c’est d’abord la qualité de fabrication. La sensation de solidité et de sérieux, dès qu’on le prend en main, change le rapport qu’on a avec le matériel. On n’a pas peur d’y aller fort sur le FFB. Ensuite, la précision des sensations, surtout en phase de grip limite, est vraiment au-dessus de la moyenne. Enfin, l’ergonomie typée Formula, avec ses shifters magnétiques bien calibrés et sa prise en main compacte, favorise un pilotage agressif mais contrôlé.

Stosunek precyzji do komfortu i wszechstronności jest zdecydowanie jego mocną stroną.

En face, il y a quelques limites à garder en tête. L’absence d’écran, de LED ou de fonctionnalités avancées peut frustrer ceux qui aiment centraliser toutes les infos sur le volant. Il faudra accepter de garder les yeux sur l’écran du PC ou un dash séparé. La compatibilité strictement orientée PC le rend moins intéressant pour un utilisateur principalement console. Enfin, son positionnement prix le place dans la catégorie des investissements sérieux : il est cohérent avec ce qu’il propose, mais ce n’est pas un achat “coup de tête”.

En termes de valeur perçue, si l’on considère le volant comme un élément central d’un setup évolutif, l’investissement se justifie. On n’achète pas un gadget qu’on remplacera tous les ans, mais un outil qui peut accompagner plusieurs générations de bases Direct Drive.

De mon côté, je le vois moins comme un volant “polyvalent grand public” et plus comme un volant de travail pour sim racer exigeant. Si c’est ton profil, sa proposition a énormément de sens.

Verdict : un volant Formula fait pour pousser le Direct Drive à fond

Le F28-SC V2 d’Ascher Racing ne change pas la donne par des features tape-à-l’œil, mais par ce qu’il fait de mieux : transmettre les forces de ta base Direct Drive avec une précision quasi chirurgicale. Dans un setup orienté performance, il devient rapidement le centre de contrôle naturel autour duquel tout le reste s’aligne.

Sur le marché, il se situe clairement dans le segment premium, mais avec une philosophie minimaliste. Pas d’écran intégré, pas de LED, pas de compromis sur la rigidité et les sensations. C’est un produit qui assume complètement d’être spécialisé.

Je le recommande sans hésitation à ceux qui roulent surtout sur PC, avec une base Direct Drive musclée, et qui privilégient la précision, la constance et la lecture du grip à toute autre considération. Pour un joueur console occasionnel ou pour quelqu’un qui cherche un volant unique pour tout faire (rallye, camion, drift…), ce n’est pas le choix le plus logique.

Si tu cherches un vrai volant Formula, solide, ultra lisible en FFB et pensé pour le long terme, ce F28-SC V2 peut clairement faire la différence dans ton setup.

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